Voici le plan de cette page:
- Notre opinion sur la presse face au système bancaire
- Un bulletin d’inscription pour être tenu informé gratuitement de nos actions par mail.
- Le traitement de nos actions par la presse
1. Notre opinion.
Cette page a pour but de vous alerter sur le comportement de la presse en général et surtout de la presse audiovisuelle vis-à-vis du système bancaire et plus particulièrement des abus bancaires, domaine dans lequel la désinformation est la règle.
En fait, tous ceux qui laissent croire aux clients des banques qu’ils ont des droits et que la justice peut les faire respecter, font de la désinformation. Nous aurons l’occasion de le démontrer.
Les quelques règles mises en place ces dernières années ne sont pas à la hauteur de la situation.Ainsi, les journalistes ou les associations dont nous ne citerons pas les noms, qui prétendent que la loi protège les clients font de la désinformation.
Nous sommes frappés par l’approche journalistique des abus du système bancaire. Voici les constatations :
– la presse laisse entendre qu’il existerait des lois protégeant les usagers des banques. Or l’ensemble des lois est totalement défavorable aux clients. Quelques améliorations, au cours de cette dernière dizaine d’années, ont été adopté par le législateur pour porter remède aux abus les plus outranciers. La presse ne fait donc pas son travail d’information en profondeur quand elle laisse penser une telle contrevérité.
– La presse, dans ses articles ou ses émissions laissent entendre que la plupart des victimes sont responsables de leur propre problème et oublie de rechercher la responsabilité du système bancaire. Exemple: une émission avait été préparée sur le problème des automates. Elle n’a jamais été diffusée à la demande des syndicats des banques…nous a-t- on dit. Peu importe que l’info ne passe pas.
– Pour ce qui est de l’économie, seuls les tenants de l’ordre établi occupe les lucarnes et les pages. Les autres, s’ils sont sollicités, le sont seulement comme alibi pour faire semblant qu’on est en démocratie.
– Les témoignages retenus généralement dans les émissions d’information ou dans les reportages écrits sont ceux qui montrent des pauvres gens plutôt naïfs piégés par le système et sont écartés ceux plus sérieux qui démontreraient à quel point le système est pernicieux au motif qu’ils ne sont pas représentatifs d’une majorité de la population.
Alors qu’en raison des abus du système bancaire la France mais aussi l’Europe et le monde se dirigent vers une catastrophe économique, nos médias continue à véhiculer la pensée unique en ce domaine comme ils le font pour d’autres sujets.
Ce faisant la presse joue le jeu du système oligarchique. Il est vrai que les journalistes sont employés par des médias dont le capital est détenu par l’oligarchie qui vit grassement du système. Quand on sait que même le journal l’Humanité est détenu par Rothschild, plus aucun doute n’est possible.
C’est pourquoi, la fnacab ne demande plus à participer, depuis presque 10 ans, à ce cirque médiatique. Le système s’effondrera tout seul. Et si nous devions à nouveau participer, il faudra que nous ayons des gages sur le sérieux de l’émission quant au véritable fond du problème.
La dernière mauvaise expérience a été faite cette année 2014 et a fait l’objet d’une lettre ouverte à France 2 dont vous prendrez connaissance en cliquant ICI Lettre Ouverte à France 2.
Et la toute dernière expérience date de ce mois d’octobre. Un appel d’une grande chaîne pour une émission sur les frais cachés qui pourraient faire l’objet d’économie. Comme d’habitude, ils cherchent une aiguille dans une botte de foin au lieu de montrer les dégâts véritables des frais abusifs.
Les exemples de désinformation sont si multiples qu’il serait fastidieux d’en continuer la liste.
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3. Nos actions à travers la presse
Article de mardi 12 juin 2018 sur notre table ronde du 7 juin.
Me Alain Bousquet sur France bleu Béarn. en avril 2017
Reportage de France 3 cote d’azur sur le salon des abus bancaires. en février 2017
C’était notre première manif gagnante (affaire réglée). Article service minimum.
Notre deuxième sortie gagnante. L’article est plus conséquent.
Notre 3e action. Pas trop mal couverte mais elle s’est heurtée à la réglementation du plan vigipirate. Le tribunal d’instance a condamnée la banque au remboursement des frais et des timbres amendes.