Accueil » 2021 » juin

Archives Mensuelles: juin 2021

arnaque sur facebook messenger — conseil – astuce

Les usurpateurs inventent quotidiennement des moyens de nous soutirer de l’argent ou des données personnelles via des messages et en particulier sur la messagerie du réseau social Facebook.Effectivement, depuis quelques jours, une nouvelle arnaque sévit sur l’application Facebook Messenger, elle est inspirée du phishing ou hameçonnage. De base, cette technique s’illustre par un escroc qui […]

arnaque sur facebook messenger — conseil – astuce

Choix de la structure juridique — BICEF

Quels que soient vos besoins, vos ambitions d’évolution, votre activité ainsi que votre situation personnelle, le choix du statut juridique reste une étape primordiale du processus de création d’une entreprise. Le choix de ce statut est très important car il a des conséquences sociales, patrimoniales et il impacte la manière dont l’entreprise sera gérée. Par […]

Choix de la structure juridique — BICEF

Interview de Gérard Husson à Bd Voltaire

La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite ! — INSURRECTION PACIFIQUE

Marc RoussetCatégorie : Economie 27 juin 2021 4 minutes de lecture Imprimer ou envoyer cet article La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses […]

La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite ! — INSURRECTION PACIFIQUE

Les français votent avec leur pieds… — INSURRECTION PACIFIQUE ?

L’astuce pour ne plus se faire arnaquer sur internet

arnaque-en-ligne-internet-hameconnage

Les sites d’arnaques fleurissent sur internet et il est frustrant de se faire avoir. Grâce au site Signal-arnaque et les témoignages de nombreux internautes, il vous sera possible d’éviter une arnaque. 

Se faire arnaquer arrive à tout le monde

Vous vous êtes fait arnaquer. Ça nous arrive à tous, et je dirais même, surtout à moi vu que j’expérimente un peu tout, justement pour pouvoir alimenter la minute éco en bons plans ou au contraire, vous avertir de certains pièges ou dangers.

Jusqu’ici, en cas de souci, on avait tendance à se défouler sur les réseaux sociaux. Parfois, quand le community manager de la marque interpelée fait bien son boulot, on reçoit un message privé et une proposition d’assistance, et le problème se débloque. Quand c’est possible évidement..

Mais il faut bien le dire, la plupart du temps, quand on râle sur les réseaux sociaux, une fois les quelques messages de copains qui vous plaignent ou vous taquinent, ça n’avance pas beaucoup. 

Signal-arnaque, le site qui liste les arnaques

C’est là qu’arrive Signal-arnaques.com. Ce site qui existe déja depuis plusieurs années est devenu une quasi référence dans son domaine. Et ces derniers temps, notamment pendant les confinements, il a considérablement augmenté son audience. À tel point que le site recense aujourd’hui 450.000 arnaques en tout genre.

Petit conseil d’ami : si vous avez un doute sur un site marchand, ou sur une entreprise qui vous propose un produit ou un service, allez voir ce qu’en disent les internautes sur signal-arnaques. Pas de messages ? Tout va a priori bien. Deux posts trois doivent commencer à attirer votre attention. Et si les messages de plaintes se comptent par dizaines, alors, vous savez ce qu’il vous reste à faire…

source économie matin

Banques : le nombre de clients fragiles en forte hausse en 2020

Le montant annuel des frais bancaires recule légèrement pour les clients en difficulté financière, à 248 euros en moyenne, selon le rapport de l’Observatoire de l’inclusion bancaire. Dans certains établissements, ces frais montent jusqu’à 469 euros par an.

A Locmaria-Plouzané (Finistère), en août 2019.

Jamais, au cours de ces dernières années, la France n’avait recensé autant de clients bancaires en difficulté financière. Selon le rapport annuel de l’Observatoire de l’inclusion bancaire (OIB), publié jeudi 17 juin, plus de 3,8 millions de personnes ont été identifiées comme « fragiles » par leurs banques à la fin de 2020, un chiffre en augmentation de 12 %. Au cours de l’année dernière, le nombre de « nouvelles détections » de ces situations de fragilité temporaires, en raison notamment d’incidents répétés sur le compte, a progressé de 28 %.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Virement instantané : l’Europe demande aux banques de baisser leurs tarifs

Si la crise économique liée à la pandémie de Covid-19 peut expliquer cette évolution, le rapport de l’OIB met en avant les effets d’une nouvelle réglementation, qui a contraint les banques à mieux identifier les clients en difficulté. Pendant de longues années, les frais d’incidents prélevés aux clients en difficulté financière ont en effet constitué une part importante des revenus des banques. Dans la foulée d’une enquête de l’Union nationale des associations familiales (UNAF) et de 60 Millions de consommateurs, révélant qu’un client en difficulté sur cinq se voyait prélever chaque année par sa banque plus de 500 euros de frais pour incidents de paiement, les pouvoirs publics se sont emparés du sujet.

« Disparités significatives »

Une charte d’inclusion bancaire et de prévention du surendettement, homologuée par un arrêté du 16 septembre 2020, fait désormais obligation à chaque établissement de prévoir un plafonnement des frais, qui « ne sauraient dépasser » 25 euros par mois pour les clients fragiles, et 20 euros par mois et 200 euros par an pour les bénéficiaires de l’« offre spécifique » (regroupant un bouquet de services bancaires essentiels, mais limités, fournis à un prix adapté). Dans son rapport, l’OIB constate que 86 % des banques se sont alignées sur le plafond de 25 euros, quelques-unes seulement ayant opté pour un tarif plus favorable.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les banques prises en défaut sur les frais prélevés aux clients fragiles

Quel a été l’effet de ces mesures sur les frais facturés aux plus fragiles ? L’OIB relève que le montant moyen annuel de leurs frais bancaires n’a que légèrement reculé l’an dernier, à 248 euros, contre 255 euros en 2019. « Ce coût cache des disparités significatives entre les établissements, les montants moyens déclarés s’échelonnant de 140 euros à 469 euros », précise l’OIB.

« Les bénéficiaires de l’“offre spécifique” restent mieux protégés », poursuit le rapport. Pour les quelque 600 000 clients qui en bénéficient, « le coût total de fonctionnement du compte bancaire s’est élevé en moyenne à 120 euros, contre 138 euros en 2019 ». Mais ce dispositif peine à se développer. L’an dernier, les ouvertures d’« offres spécifiques » ont chuté de 17 % par rapport à 2019.

Lire aussi Banques : les clients les plus fragiles restent très pénalisés en cas de découvert

Source le Monde

Crédit immobilier: conditions d’octroi + dures.

La maison

Lisez cette info de France info et surtout retenez que les banques qui ne respecteront pas les consignes seront sanctionnées. C’est nouveau. On peut imaginer que certains juges civils en tiendront compte.

Cet été, les banques vont être nettement plus regardantes sur les dossiers de demandes de crédit immobilier : elles ne devront plus accorder des prêts qui dépassent 35% du revenu des emprunteurs. Autrement dit, ce que vous remboursez par mois en crédit immobilier ne devra pas représenter plus de 35% de ce que vous gagnez. Avant, le seuil d’acceptation était un tout petit peu plus bas, à 33% du montant des revenus. Mais attention : jusqu’ici, l’assurance du crédit n’était pas prise en compte. Elle doit désormais être comptabilisée dans les 35 %.

Concernant la durée, la majorité des prêts ne devra pas dépasser 25 ans, à l’exception des biens neufs où il sera possible d’aller jusqu’à 27 ans.  

Aujourd’hui, les banques doivent veiller à ces règles mais ce ne sont que de simples recommandations. À partir de cet été, ce qui va changer, c’est que si les banques ne respectent pas les contraintes du Haut conseil de la stabilité financières, elles pourront être sanctionnées, notamment via des pénalités financières. 

Des dérogations possibles, mais pas pour les petits budgets

C’est la première fois depuis les années 1980 que les banques seront soumises à des normes contraignantes pour la distribution de crédit. Et c’était assez fréquent qu’elles passent outre les recommandations, acceptant parfois des taux d’endettement jusqu’à presque 40%.  

Des dérogations seront encore possibles, notamment pour les emprunteurs qui auront de l’épargne, mais ce sera plus difficile. Conséquence : les petits investisseurs risquent d’être pénalisés. Ceux qui ont déjà un crédit pour leur résidence principale et qui en veulent un autre pour acheter un appartement à louer, en défiscalisant, par exemple. Mais les plus gros perdants risquent d’être les jeunes, les primo-accédants qui n’ont pas beaucoup d’apport, et dont les premiers salaires sont bas.

En ce moment, pourtant, les taux bas encouragent les achats. Ils sont historiquement faibles : 1,15% en moyenne en avril dernier, selon la banque de France. Et comme la pierre reste une valeur sûre, les banques sont très sollicitées, en ce moment, pour des demandes de prêts.  

C’est aussi pour cela que les autorités serrent la vis. Elles veulent éviter la surchauffe des crédits et craignent une remontée du chômage et des emprunteurs qui se retrouveraient exsangues, incapables de payer, et négociant cette fois, des dossiers de surendettement.

Faites comme moi ! — FNACAB — INSURRECTION PACIFIQUE

Pourquoi pas, en effet ? Je m’énerve tellement lorsque j’écoute les différentes chaînes d’information dans les moments où elles n’accomplissent plus du tout leur véritable mission pour se livrer à la désinformation et à une propagande digne de régime totalitaire que j’ai pris l’habitude d’éteindre le poste ou la télé. Faites comme moi. C’est un […] […]

Faites comme moi ! — FNACAB — INSURRECTION PACIFIQUE

L’usurier — Mathis A. LeCorbot

La réputation des usuriers n’est un secret pour personne. Visages à deux faces, ils sont tout miel lorsque vient le temps de vous prêter de l’argent et de véritables crapules sans aucun scrupule si vous avez eu la fâcheuse idée de ne pas respecter les termes de l’entente verbale vous liant à l’un d’eux. Si […]

L’usurier — Mathis A. LeCorbot