Comment fut sauvée de la ruine cette famille victime d’abus bancaire.
Le père vous raconte son histoire et sa chance d’être allé rencontrer la FNACAB.
IX ième Salon des abus bancaires
En raison des périodes covid que notre pays vient de vivre et des mesures privatives de liberté qui furent mises en œuvre, nous avions interrompu toutes réunions publiques. Enfin cette période est terminée, nous organisons le IXième salon des abus bancaires d’autant plus que les temps vont devenir plus difficiles pour beaucoup d’entre nous. Pour nous aider et aider ceux qui dans votre entourage pourraient être en difficulté, faites circuler l’information. Partagez le plus possible cette information. Même si vous ne le savez pas, vous rendrez peut être service à un de vos proches.
Ce salon aura pour thèmes principaux:
1) Comment sauver ses économies et son patrimoine
2) comment éviter les fraudes sur ses comptes – en augmentation exponentielle,
3) Pourquoi la commission de surendettement de Nice est elle autant anti sociale face au surendettement?

Pour une bonne organisation, vous pouvez solliciter un RDV et exposer succinctement votre problème. Tel: 06 12 44 92 87
Vos économies sont elles vraiment garanties?
Quinze ans après la crise bancaire de 2008, les fragilités et la faillite de deux entités aux Etats-Unis, et une en Europe avec le Credit Suisse, bousculent les marchés financiers. Le président de la Fédération bancaire française rejette toute contagion éventuelle.
Pas tout à fait un crack financier, mais tout de même de quoi inquiéter sérieusement les marchés. Après une semaine de dégringolade en Bourse, la présidente de la BCE Christine Lagarde tente de trouver les mots pour rassurer. Une prise de parole devenue urgente pour stopper l’emballement, commencé en début de semaine en Californie, avec la faillite de la banque américaine SVB. Et ces images de centaines de clients venus retirer leur argent. Puis en quelques jours, le Credit Suisse et le fonds américain First Republic dévissent à leur tour, renfloués in extremis pour ne pas risquer la contagion.
Il n’empêche, l’inquiétude gagne alors les marchés. Sur l’ensemble de la semaine, BNP, Crédit Agricole et Société générale voient leur action plonger. Alors les Français doivent-ils s’inquiéter pour leurs économies ? « Aucun risque« , assure le patron du Crédit Agricole. Les épargnants, qui bénéficient d’ailleurs d’un filet de sécurité, jusqu’à 100 000 euros garantis en cas de faillite de leur banque. Le secteur bancaire a jusqu’à la fin du week-end pour rassurer les investisseurs, avant la réouverture des marchés lundi.
Le texte est de J. Cholin, A.-C. Le Sann, C. Vignal, L. Lavieille – France 2
A la fnacab on n’est pas spécialiste des marchés financiers mais de nombreux spécialistes disent que tout de même cela sent mauvais. Quant à la garantie des dépôts bancaires, elle ne peut couvrir l’ensemble des fonds déposés par tous les clients.
Le dessin d’Ignace — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie

(source : Médias-Presse-Info) Lire aussi : « C’est horrible… il y a des rats partout » : les poubelles s’entassent à Paris, jusqu’où ira la grève des éboueurs ?
Le dessin d’Ignace — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
Un grain dans le rouage du Great Reset : retour de l’argent liquide en Suède — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie

par Francesca de Villasmundo L’expérience de vivre sans argent liquide a fait long feu en Suède. Plusieurs raisons dont les inégalités sociales engendrées et des potentielles cyber-attaques, expliquent cette marche arrière de la nation du progressisme. Ce retour aux espèces est un grain dans les rouages du Great Reset et du « tout numérique » […]
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SVB : La crise de liquidité que nous avions annoncée vient de commencer — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie

par Brandon Smith Ces derniers jours, une avalanche d’informations et de nombreuses théories ont circulé sur le sort d’une banque californienne connue sous le nom de SVB (Silicon Valley Bank). SVB était la 16ème plus grande banque des Etats-Unis jusqu’à ce qu’elle fasse brusquement faillite et se retrouve en situation d’insolvabilité le 10 mars dernier. […]
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La fermeture de la Silicon Valley Bank marque la plus grosse faillite bancaire depuis la crise de 2008 — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie

Les autorités américaines ont pris le contrôle, vendredi 10 mars, de l’institution financière liquidée. Les grandes banques semblent pour l’instant protégées, mais Wall Street craint une contagion aux établissements régionaux. Quand la panique bancaire s’engage, l’affaire est perdue. La Silicon Valley Bank (SVB), spécialisée dans le capital-risque, a été fermée administrativement, vendredi 10 mars dans la […]
La fermeture de la Silicon Valley Bank marque la plus grosse faillite bancaire depuis la crise de 2008 — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
Olivier Delamarche : « C’est la chute de Rome » — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie

« Après la japonisation des banques centrales, on a eu la soviétisation de l’économie. Aujourd’hui on n’est plus très loin de la libanisation… » « Débancarisez-vous et sortez de l’euro… » (libreinformations.be, 18 février 2023) Rappels : Philippe Herlin : « Fuyez les banques » En pleine crise, les Libanais bataillent avec les banques pour retirer leur argent
Olivier Delamarche : « C’est la chute de Rome » — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
Escroqué à la carte bancaire et lâché par sa banque
C’est malheureusement de plus en plus vrai malgré la loi qui impose aux banques d’indemniser systématiquement les clients sauf à la banque d’apporter la preuve qu’il y a eu une faute de son client sinon elle est obligée de rembourser. »
A titre d’exemple, voici l’aventure d’un homme de bonne foi raconté par Centre presse le 06/05/2022 06:58 éd Chatellerault
Escroqué à la carte bancaire et lâché par sa banque
Victime d’une arnaque à la carte bancaire pour plus de 4.000€, un Châtelleraudais réclame un remboursement à sa banque. Refus catégorique de celle-ci.
Les arnaques à la carte bancaire sont de plus en plus nombreuses.
Olivier (1) ne décolère pas. C’est un peu le sentiment de tous ceux qui se sont fait un jour escroquer. De la rage mêlée d’impuissance.
Pour ce Châtelleraudais d’une soixantaine d’années, la mésaventure a débuté au mois de février 2022, lorsqu’il a reçu un SMS… « Le message demandait de valider un paiement. Ou d’appeler un numéro de téléphone en 09 si je n’étais pas à l’origine de la transaction. » Olivier rappelle le numéro. Au bout de fil, quelqu’un se présente comme faisant partie du service monétique de sa propre banque, la Caisse d’Épargne pour ne pas la citer. « Il était extrêmement crédible. Il m’a dit que deux opérations frauduleuses avaient été repérées et m’a demandé mes coordonnées de carte bancaire pour les annuler. » Olivier les fournit. Le mal est fait.
« On constate de plus en plus que les banques freinent de quatre fers »
Quelques jours plus tard, le sexagénaire voit apparaître sur son relevé de compte deux transactions
frauduleuses, effectuées dans une grande surface de bricolage et une de décoration. Il y en a au total pour
4.200€. Il se retourne vers sa banque arguant de sa bonne foi et invoquant un abus de confiance. Le verdict
tombe quelques jours plus tard: « Il n’est pas possible de donner de suite favorable à votre demande (de
remboursement). » Depuis, Olivier a porté plainte, via la plate-forme Perceval, et a contacté une association
de consommateurs. Il envisage de porter l’affaire en justice.
Les associations de consommateurs, justement, sont de plus en plus sollicitées pour ce type d’escroqueries.
« On a en énormément, assure Frédérick Siuda, d’UFC-Que choisir 86. On a des cas de hameçonnage, des
abus de confiance. On constate de plus en plus que les banques freinent des quatre fers pour rembourser les
victimes. »
Pour ce spécialiste, il ne faut pas lâcher l’affaire. « Il y a une arme, c’est le Code monétaire et financier. C’est
à la banque d’apporter la preuve qu’il y a eu une faute de son client sinon elle est obligée de rembourser. »
En cas de refus, UFC-Que choisir conseille de saisir le médiateur bancaire (indépendant de sa propre
banque). « Si la banque ne veut rien savoir, l’étape supérieure, c’est d’aller en justice. Mais si les sommes ne
sont pas très élevées, souvent, les gens abandonnent », précise Frédérick Siuda.
La Caisse d’Épargne
se défend
Contactée, la Caisse d’Épargne se retranche de son côté derrière sa communication officielle. « On analyse la
situation pour définir quelles sont les responsabilités de chacun, résume Laurence Martinez, directrice de la
communication pour la Nouvelle-Aquitaine. Il y a une jurisprudence dans ce domaine. Dès lors qu’un client
fournit ses données personnelles, il engage sa responsabilité. D’ailleurs, généralement, les médiateurs se
rangent à la jurisprudence. »
Même en cas d’arnaque caractérisée, comme pour Olivier? « Les fraudes augmentent avec des techniques de
plus en plus élaborées, plaide Laurence Martinez. Mais jamais, en aucun cas, un collaborateur de la Caisse
d’Épargne ne demandera à un client de communiquer ses données! » Olivier crie aujourd’hui à l’injustice.
« De la prévention généralisée »
À la Fédération bancaire de la Vienne, on admet que les choses ont évolué en matière de fraude. « Avec la pandémie, on a assisté à une explosion des transactions sur internet. Le problème, c’est que les gens sont de moins en moins attentifs. On a vu augmenter les fraudes de manière très importante », commente un représentant de la fédération. Face à ça, « la politique est de faire de la prévention généralisée ». « Quand il y a fraude, on applique de manière stricte les règles. Votre carte est utilisée avec vos données? Vous êtes débité! Après, ce sont des situations individuelles à évaluer notamment si le client prouve qu’il n’a pas pu faire la transaction. »
Franck Bastard
Justement, ce n’est pas au client qu’il n’a pas pu faire la transaction et c’est à la banque de prouver qu’il y a eu faute du client .