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Arnaque : un faux SMS des impôts pour un vrai site de phishing

Dans le paysage numérique actuel, les cybercriminels redoublent d’ingéniosité pour dérober vos informations personnelles. Une nouvelle arnaque par SMS, ciblant spécifiquement les contribuables, a récemment été mise en lumière. Comment faire pour éviter de tomber dans le piège et identifier le faux site des impôts ?

Paolo Garoscio

Par Paolo GaroscioPublié le 27 juin 2023 à 15h45

Cet article provient de la newsletter d’economiematin

Arnaque Sms Impots Alerte Securite Phishing Piratage

20%Dans 20% des attaques les pirates utilisent des identifiants compromis.

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Démystifier l’arnaque: phishing et faux SMS des impôts

Les cybercriminels ont mis en place une campagne de phishing sophistiquée, ciblant les contribuables français. Le phishing, ou hameçonnage, est une technique utilisée par les fraudeurs pour obtenir des informations personnelles en se faisant passer pour une entité de confiance. Dans ce cas, les fraudeurs envoient des SMS prétendant que votre compte sur le site des impôts fait l’objet d’une activité suspecte. Le message contient un lien vers un site clone de www.impots.gouv.fr, qui vous demande d’entrer votre numéro fiscal et un mot de passe.

https://82463f7acb6b5407de45272dfafdbedc.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-40/html/container.html

Le site clone est une copie parfaite du site officiel des impôts, souligne Numerama qui a dévoilé cette nouvelle attaque, ce qui rend l’arnaque difficile à détecter pour les utilisateurs non avertis. Une fois que vous avez entré vos informations, le site vous remercie pour votre authentification et prétend que l’accès à votre compte a été restauré.

Quels sont les dangers d’une telle arnaque ?

Les pirates utilisent ces informations pour plusieurs fins malveillantes. Ils peuvent revendre vos données sur le dark web, un espace en ligne où les activités illégales sont monnaie courante. Vos informations personnelles, notamment votre numéro fiscal, peuvent être achetées par d’autres criminels pour commettre des fraudes supplémentaires.

Ils peuvent également utiliser vos identifiants pour créer de faux comptes en votre nom, ou essayer de se connecter à d’autres services en utilisant le mot de passe que vous avez fourni. Cela peut conduire à une usurpation d’identité, qui peut avoir des conséquences financières et juridiques graves.

Des indices pour identifier qu’il s’agit d’un faux site des impôts

Il y a plusieurs signes révélateurs de cette arnaque. Le premier est le numéro de téléphone à partir duquel le SMS est envoyé. Le ministère des Finances ne vous contactera jamais avec un numéro commençant par « + 33 », « 06 » ou « 07 ». De plus, le nom de domaine du site clone est différent de celui du site officiel des impôts, qui est toujours www.impots.gouv.fr.

Un autre signe révélateur est la nature du site clone lui-même. Il ne donne accès à aucun autre service et reste « figé ». Si vous pouvez cliquer sur tous les autres onglets ou même le logo pour revenir à l’accueil, et qu’il ne se passe rien, c’est un signe clair que vous êtes sur un site d’arnaque.

Comment se protéger contre l’arnaque par SMS des impôts ?

Pour vous protéger contre cette arnaque, soyez vigilant lorsque vous recevez des SMS prétendant être du service des impôts. Ne cliquez jamais sur les liens dans ces messages. Au lieu de cela, accédez directement au site officiel des impôts en tapant l’URL dans votre navigateur.

De plus, il est important de vérifier le numéro de téléphone et le nom de domaine du site. Si le numéro de téléphone commence par « + 33 », « 06 » ou « 07 », ou si le nom de domaine ne se termine pas par « .gouv.fr », il s’agit probablement d’une arnaque.

Si vous avez déjà été victime de cette arnaque, contactez immédiatement le service des impôts et changez votre mot de passe. Vous pouvez également signaler le numéro frauduleux au 33700, un service qui centralise les numéros frauduleux.

Engeuler son conseiller bancaire ne sert à rien. Pourquoi?

Voici un article écrit par Vincent MIGNOT que vous pouvez retrouver sur le site de Monayvox,

L’emploi bancaire est en crise. Les agences bancaires peinent à recruter et à fidéliser leurs collaborateurs, dont plus de la moitié démissionnent avant 5 ans. Comment en est-on arrivé là ? Pour mieux comprendre, nous avons recueilli le témoignage de Nathalie, conseillère financière depuis une trentaine d’années.

La banque de détail ne parvient plus à fidéliser ses conseillers financiers en agence. Selon des chiffres du SNB CFE-CGC, le premier syndicat bancaire, 30% des salariés rejoignant le secteur ont démissionné au bout de deux ans. Et 60% ne sont plus là au bout de cinq ans. « Depuis le Covid, la banque connait une hypertension sur l’emploi », confirme Frédéric Guyonnet, président national du SNB. « Il y a des trous partout, dans toutes les banques et toutes les régions. »

En 2021, derniers chiffres disponibles (1), 4 départs de salariés en CDI sur 10 étaient des démissions. Et le plus souvent, c’est pour quitter le secteur bancaire. « Un phénomène nouveau », estime Frédéric Guyonnet. « Avant le Covid, il y avait déjà des démissions. Cependant, ces salariés restaient dans le secteur, ils changeaient seulement de banque pour évoluer dans leur carrière. »

« En interne, on nous appelle des vendeurs »… Un jeune banquier au bord de la démission témoigne

Comment expliquer qu’autant de travailleurs fuient cette profession autrefois valorisée ? Pour tenter de comprendre, nous avons recueilli le témoignage de Nathalie (2). Elle a commencé à travailler en agence bancaire il y a une trentaine d’années. D’abord comme chargée d’accueil pour une banque régionale mutualiste puis, après une interruption de carrière, comme chargée de clientèle dans une grande enseigne nationale, pendant une quinzaine d’années. Elle a depuis changé d’employeur, pour revenir dans une banque régionale mutualiste.

Sous couvert d’anonymat, elle a accepté de nous raconter ses déceptions et ses doutes. Son témoignage, évidemment, n’est pas représentatif de toutes les expériences vécues par les conseillers financiers. Mais il fournit un bon aperçu des difficultés du métier.

En sous-effectif chronique

En 30 ans de carrière, Nathalie a été témoin des profonds bouleversements qu’a connus l’industrie bancaire, sous l’effet notamment de sa numérisation croissante. « Le choix du numérique est assez ancien, mais la transformation s’est accélérée depuis 2015. Depuis cette date, les conseillers ont de fortes incitations à partir et ils sont de moins en moins dans les agences. »

Résultat : l’accueil des clients s’est dégradé. « Auparavant, dans l’agence où je travaillais, tous les clients pouvaient être reçus facilement », poursuit Nathalie. « Ce n’est plus le cas aujourd’hui : ils doivent prendre rendez-vous pour nous rencontrer, et nous avons tendance à privilégier les clients qui ont du patrimoine. Les autres sont renvoyés vers l’application ou le site internet. Nous ressemblons de plus en plus à une banque en ligne. Pourtant, les clients continuent de payer le tarif d’une banque en face à face. »

« Nous ressemblons de plus en plus à une banque en ligne. »

Les réductions d’effectifs sont une chose. Mais il y a aussi l’absentéisme. « Durant ma dernière année chez mon ancien employeur, entre les démissions et les arrêts maladie, nous avons tourné avec 50% des effectifs dans mon agence », explique Nathalie. « Pour compenser, nous avons dû faire beaucoup d’heures supplémentaires. » Une surcharge de travail qui a convaincu Nathalie de changer d’enseigne.

Le culte du PNB

PNB, pour « produit net bancaire », soit l’équivalent du chiffre d’affaires dans le monde de la banque. Un concept désormais omniprésent dans le quotidien des conseillers financiers. « Dans les banques commerciales, comme BNP Paribas ou Société Générale, la quête permanente du PNB, et la pression qui va avec, est présente depuis longtemps », nuance Frédéric Guyonnet. « Ce n’est pas le cas dans les banques régionales mutualistes, où ce virage commercial est plus récent. Certains profils peinent à s’y adapter ».

Ce n’est pas le cas de Nathalie. « Avoir des objectifs à atteindre, c’est le principe du commercial », explique-t-elle. « Mais aujourd’hui, on ne nous parle plus que de PNB ». La pression pèse également sur les épaules des directeurs d’agence, et, face à elle, tous ne répondent pas de la même façon. « Certains parviennent à rester humains, d’autres non. J’ai été témoin de pratiques qui s’apparentent à du harcèlement moral, et qui ont d’ailleurs entrainé des mises à pied. 

Plus que la pression commerciale, c’est le manque d’autonomie que Nathalie trouve pesante. « On nous impose de travailler des cibles particulières, on nous demande en permanence de faire remonter nos chiffres, on nous met la pression sur le nombre de rendez-vous… Je connais mon portefeuille de clients, je connais aussi mes objectifs de production, je suis capable de gérer seule. »

« Les managers nous mettent en compétition, cela fait partie du mal-être au travail. »

Autre problème : la mise en concurrence interne. Dans la banque où travaille actuellement Nathalie, les conseillers financiers doivent signaler, dans un espace informatique partagé, toutes leurs ventes en temps réel. Chez son ancien employeur, les remontées de chiffres étaient quotidiennes et servaient à alimenter un classement, pondéré en fonction des objectifs de vente fixés par la direction.

Un classement publié chaque semaine, « à la vue de tous ». En clair, tout le monde peut connaître en permanence les chiffres de vente des collègues. « Les managers nous mettent en compétition, cela fait partie du mal-être au travail », explique Nathalie. « Lorsque vous êtes en haut de tableau, ça va. Vous êtes même félicité. Mais, quand ce n’est pas le cas, parfois juste parce que vous êtes sur un secteur moins porteur, c’est très dur à vivre. »

Le risque du défaut de conseil

Ce système de mise en concurrence entraîne des dérives. « Lorsque vous êtes en retard au classement, vous pouvez être tenté d’axer sur le produit qu’il faut vendre plutôt que celui qui est le plus adapté. »

Une tentation à laquelle Nathalie n’a jamais succombé : « Je suis droite dans mes bottes, je refuse de changer de trottoir quand je croise un client dans la rue. » Elle a, en revanche, été témoin de pratiques très problématiques. Elle nous en donne un exemple : « Un de mes prédécesseurs conseillait des assurances vie avec mandat de gestion actions à des clients qui souhaitaient placer l’argent de la vente de leur maison pour quelques mois, en attendant de racheter. Un produit totalement inadapté, puisque présentant un risque pour le capital, mais qu’il était encouragé à vendre, car il rapporte beaucoup de PNB. »

« Aucune banque ne licencie pour un manque de résultats. »

« Il s’agit clairement d’un défaut de conseil », réagit Frédéric Guyonnet, du SNB CFE CGC. « Il faut le rappeler : aucune banque ne licencie pour un manque de résultats. En revanche, on peut être licencié pour avoir sacrifier le défaut de conseil. Les banques, en principe, interdisent les classements individuels selon les résultats commerciaux. Il peut s’agir d’initiatives locales de la part de managers souhaitant atteindre leurs objectifs. »

En toutes choses, pratiquons la zététique

La zététique est l’art du doute. C’est une discipline inventée par Henry Broch dans les années 80 et la définition qu’il en donne est assez simple: « la zététique c’est l’art du doute l’art de ne pas accepter comme vrai tout ce qui est affirmé comme vrai et par art il faut entendre technique méthode. »

Aujourd’hui, dans ce monde où les moyens « d’informations » sont souvent utilisés pour la propagande des états quels qu’ils soient, vous devez devenir sceptiques et diversifier vos sources pou tenter de savoir quelle est la vérité au moins quant aux faits car quant aux idées, c’et une question de croyance.

Pour en savoir plus sur le sujet voici une vidéo du site le précepteur qui vous en dira plus. A regarder en plusieurs fois.

Elle est un peu longue mais au combien instructive!

Compte à terme : Face au contexte actuel de hausse des taux d’intérêt, est-ce un placement intéressant ?

Dans le contexte actuel de hausse des taux d’intérêt, le compte à terme s’avère être un produit d’épargne particulièrement intéressant pour les personnes qui n’ont pas besoin de leur argent à court ou moyen terme.

compte à terme

Ce type de compte offre généralement des rendements plus élevés qu’un compte d’épargne ordinaire et permet d’immobiliser son épargne pour une période prédéterminée, par exemple un an. Décryptage.

Le compte à terme : une option complémentaire pour les investisseurs avertis, mais avec certaines contraintes

Le compte à terme complément idéal au compte d’épargne classique, surtout pour les investisseurs disposant d’un patrimoine conséquent. Toutefois, notez que l’argent placé sur un compte à terme n’est disponible qu’à l’issue de la période d’épargne, ce qui peut constituer une contrainte pour certains.

Comparaison avec d’autres formules d’épargne

Pour mieux comprendre l’intérêt des comptes à terme, les comparer à d’autres produits d’épargne s’avère être utile. Ainsi, le taux de base des comptes d’épargne varie entre 0,20 % et 0,80 %, tandis que la prime de fidélité oscille entre 0,25 % et 1,10 %. Ces chiffres sont réservés aux montants qui restent au moins un an sur le compte d’épargne, mais ils peuvent être retirés à tout moment sans pénalité.

D’un autre côté, le Livret A est un produit d’épargne réglementé accessible à tous et offrant une simplicité de fonctionnement. Cependant, son taux d’intérêt est généralement inférieur à celui des comptes à terme, ce qui peut inciter certains investisseurs à opter pour ces derniers :

  • Compte à terme : taux bruts compris entre 2,75 % et 2,9 %, immobilisation de l’épargne pendant une période prédéterminée (1 à 4 ans)
  • Compte d’épargne : taux de base entre 0,20 % et 0,80 %, prime de fidélité entre 0,25 % et 1,10 %, retraits possibles à tout moment
  • Livret A : produit d’épargne réglementé, taux d’intérêt généralement inférieur à celui des comptes à terme

Source journal Zybeline

CRÉDIT IMMOBILIER: CES EMPRUNTEURS TOMBÉS DANS UN « GOUFFRE FINANCIER » AVEC LES PRÊTS HELVET IMMO

les ménages ayant souscrit à ces prêts immobiliers en 2008 ou 2009, le rêve de devenir propriétaire a viré au cauchemar. C’est ce qu’ils racontent au procès en appel de la BNP Personal Finance.

Un long « cauchemar »: au procès en appel de la BNP Personal Finance, des emprunteurs ont décrit lundi le « gouffre financier » qu’est devenu pour eux le prêt Helvet Immo qu’ils ont souscrit en 2008 ou 2009.

Ils ont signé il y a plus d’une décennie l’un des quelque 4.600 contrats de ce prêt libellé en francs suisses mais remboursable en euros, destiné à l’investissement locatif défiscalisé, qui vaut à la filiale de BNP Paribas, connue en France sous la marque Cetelem, d’être jugée pour pratique commerciale trompeuse et recel.

Des drames personnels

Afin d’acquérir un « studio au Mans » et « se constituer un petit patrimoine pour la retraite », Didier Gras ainsi a emprunté en couple 150.000 euros en juin 2008.

« On nous a dit: ‘c’est indexé sur le franc suisse’, c’est la valeur sûre du marché, c’est sécurisé », témoigne-t-il à la barre.

Or, dans le sillage de la crise financière, l’euro a décroché face à la devise helvète et les montants à rembourser ont explosé. En 2014, cet ancien boucher en grande surface aujourd’hui retraité a décidé de convertir le prêt en euros, une option prévue dans le contrat.

Il restait alors 195.000 euros à payer, alors qu’il versait une mensualité d’environ 900 euros par mois depuis 2008. Il explique avoir finalement soldé le prêt avec l’argent issu de la vente de sa maison. « Ca a pesé lourd dans mon divorce, ma vie de famille », souligne cet homme de 68 ans qui continue à travailler « en interim ».

Des risques dissimulés?

BNP Personal Finance est soupçonnée d’avoir dissimulé le risque de change au coeur de ces contrats, qu’elle ne commercialisait pas directement mais via des intermédiaires. Condamnée en première instance en 2020 à 187.500 euros d’amende et à payer 127 millions d’euros en dommages-intérêts aux emprunteurs, elle conteste toute pratique frauduleuse et a fait appel.

Femme de ménage à la retraite, Martine D., 66 ans, qui ne souhaite pas que son nom apparaisse, raconte à la cour d’appel avoir été « démarchée par téléphone »: un conseiller en patrimoine est venu chez elle « 7-8 fois », des liens se sont tissés entre eux.

« Il nous a donné le prêt en francs suisses sans nous expliquer rien du tout, quand on a lu le contrat il nous a dit: ‘ne vous en faites surtout pas, faites-moi confiance, c’est un prêt sûr sûr sûr’, et il nous a entraînés dans ce gouffre financier », dit-elle.

Comme les autres parties civiles, elle affirme n’avoir à l’époque « pas du tout compris » qu’il existait un risque lié à la parité entre les deux monnaies. Cette cliente de la BNP « depuis 1974 », qui a emprunté 130.000 euros, devait encore une décennie plus tard 152.000 euros: « pendant 10 ans, vous mettez 900 euros à la poubelle tous les mois », lance-t-elle amèrement. La valeur du bien acquis avec le prêt est aujourd’hui estimée à 60.000 euros.

Alors aide-soignante, Muriel Letocart a quant à elle souscrit ce prêt avec son mari « pour sa retraite, pour nos enfants, mon fils handicapé ».

La fin d’un cauchemar

« Ca aurait été marqué: ‘un risque de change sera à la charge de l’emprunteur si l’euro venait à baisser’, j’aurais compris. Moi j’appelle un chat un chat. J’ai relu l’offre de prêt encore, je ne vois rien noté dans ce sens-là », déclare-t-elle.

Douze ans plus tard, cette retraitée paye toujours ses mensualités et « financièrement, c’est de pire en pire ». Il y a « la voiture au garage », mais aussi « les mutuelles, le gaz et l’électricité », décrit-elle sobrement en réponse aux questions.

Gilbert Pelini explique, lui, avoir voulu investir dans une résidence « senior » pour ses vieux jours avec son épouse et signé auprès d’un salarié de Cetelem, une « relation professionnelle » en qui il avait « confiance ». « La confiance a bien été trahie, et aujourd’hui on est, j’espère, à la fin d’un cauchemar. Ce qui s’est passé en 12 ans, on a hâte que ça s’arrête », lance-t-il.

Parmi les conséquences, cet ancien assureur de 75 ans explique avoir « été obligé de continuer à travailler » jusqu’à fin 2022. Son avocate précise: au total, le couple va payer 380.000 euros pour un crédit initial de 252.000 euros.

Il est bon de diversifier ses sources d’informations pour éviter de mourir idiot.

Il est bon de diversifier ses sources d’information.

Bientôt, ils menaceront de nous couper les c… !