Vous comprendrez pourquoi il ne faut pas faire uns confiance aveugle à la justice de notre pays. Et ceux qui disent le contraire, prononce une énorme ânerie. Cela ne signifie pas qu’ils sont tous pourris, loin de là. Mais il faut bien se renseigner avant pour savoir à qui on aura à faire. Juge respectant la neutralité en oubliant ses convictions sociétales et politiques ou juge idéologisé et se servant de sa position pour mettre en œuvre ses convictions.

Il y a aussi les « je-m’en-foutiste » mais cela sont les moins dangereux. Ah que notre monde devient dangereux.

Garder tout de même le moral.

…qui est relatée par le journal Nice-matin. Vous la trouverez in fine de ce récit.

« Ils ont appelé avec le numéro de ma banque et un coursier est venu »: une Azuréenne victime d’une escroquerie bancaire à 12.000 € témoigne

Après plusieurs échanges téléphoniques, un SMS et la venue d’un coursier, Nathalie se fait escroquer de 12.000€ à cause d’une fraude bancaire très sophistiquée. Elle raconte.

L’arnaque était si sophistiquée que Nathalie n’a eu aucun soupçon. Début août, elle reçoit un SMS pour régler 2,95 euros de frais de douane. « J’avais acheté quelque chose hors Union européenne. Comme je partais en vacances le jour d’après, j’ai voulu faire vite et je me suis dit au pire, j’ai perdu 3 balles », sourit la jeune femme qui n’en a pourtant pas le cœur.

Des coups de fil de « sa » banque

Le lendemain matin sa banque – ou plutôt ce qu’elle croit être sa banque – la contacte par téléphone, avec le bon numéro de son agence située à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes).

« On me demande si je suis à l’origine de plusieurs achats sur Internet pour près de 6.000 euros. Je dis non. Le conseiller m’indique qu’il bloque les opérations, mais qu’il faut faire opposition à ma carte. » C’est la panique à bord. « Je partais le soir même, j’avais réservé une voiture avec ma carte bancaire, j’en avais absolument besoin », poursuit Nathalie. Le conseiller lui indique qu’ils vont trouver une solution et qu’ils la rappellent dans une heure. Elle reçoit également un SMS. Envoyé par les SMS de sécurité de l’établissement bancaire et avec les derniers numéros de son compte. Pourquoi se méfierait-elle…

Une heure après, le coup de fil attendu arrive, toujours avec le bon numéro de l’agence bancaire. « Ils me disent qu’ils ont trouvé une solution, qu’il faut resynchroniser la carte de crédit mais que ça se fait à Marseille, qu’il faut trouver un coursier qui viendra récupérer ma carte, l’amènera à l’agence et me la rapportera, synchronisée, avant que je ne parte pour l’aéroport », enchaîne la mère de famille.

Un coursier au pied de chez elle

À 14 heures, nouvel appel. En masqué, celui-ci. Mais pas de raison de douter pour Nathalie puisque la conversation est la suite logique des deux précédentes. « Ils me disent ça y est, on a trouvé une agence à Cannes qui va vous la resynchroniser. Un coursier est en bas de chez vous. Il doit vous donner le code 1812. Mettez bien votre carte dans un pli pour la confidentialité. Et on vous ramènera votre carte avant votre départ », raconte la quadragénaire.

Nathalie descend. En bas de chez elle, le coursier. « Une jeune femme très polie à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession », souffle-t-elle. Le temps passe. Et bien sûr, elle n’a jamais revu sa carte. Entre-temps, les malfrats ont dévalisé un DAB… 5.000 euros envolés. Ce à quoi il faut ajouter les 6.000 euros des premières opérations qui ont bien été également carottés.

Plainte déposée et médiateur saisi

Depuis, sa banque refuse de la rembourser. Sous prétexte qu’elle a remis sa carte bancaire. Mais Nathalie a de la ressource, même si la vie est plus compliquée avec un découvert de près de 12.000 euros, comme « des prélèvements rejetés, etc. ». Elle a déposé plainte, a saisi le médiateur de sa banque. « Quelqu’un a réussi à pirater le numéro de téléphone de mon agence bancaire, leur SMS. Je n’ai pas été négligente », conclut Nathalie.

La leçon à tirer de cette affaire est que les banques d’une manière générale, sauf quelques cas particuliers ne respectent pas la loi. Elles s’assoient carrément dessus. En effet, le législateur, devant l’ampleur des fraudes diverses, a fini par faire voter une loi par l’Assemblée nationale qui fait obligation d’endémiser les clients victimes sauf à démontrer la faute du client. Et la jurisprudence de la Cour de cassation précise que le client naïf tombé dans le piège sophistiqué d’un escroc n’est pas responsable car le processus est bien trop vicieux pour être découvert par un être humain normalement intelligent. Voici les preuves:

Lisez COUR DE CASSATION Audience publique du 28 mars 2018

votre vie ne changerez-elle pas?

Si tous ceux qui pestent contre les abus du système bancaire, au lieu de se lamenter, se seraient les coudes, tout serait différent. C’est cette idée qui a animé les fondateurs de la FNACAB. Et ça a marché. La preuve en est qu’à ce jour des résultats impressionnants peuvent être revendiqués (à voir ici).

Mais voilà, le problème est que pas assez de citoyens s’engagent et nous rejoignent pour constituer une vraie force populaire. Ceux qui viennent ont presque tous un problème bancaire que l’on s’efforce de régler dans 80% des cas avec succès.

A quoi doit on ces succès? à la législation, pas du tout. On le doit au fait de l’intervention associative car qui dit association, dit groupe de personnes représentant une certaine force. De ce fait le système se méfie et négocie. Mais pour obtenir des réformes durables, il faut être bien plus nombreux car ce n’est plus une société commerciale qu’il faut affronter mais c’est l’Etat lequel est dirigé par des individus; Ces individus ont besoin d’être élus et réélus. Pour cela ils doivent plaire au groupe de pression. Pour qu’un groupe de pression soit entendu, il doit pouvoir représenter du monde. Il doit avoir les moyens de faire des campagnes de sensibilisation. Il doit aussi en avoir les moyens financiers. C’est pour cela que nous avons lancer la souscription d’1 ou 2 € ou plus par 1 million de français. Un euro chaque année par un million de français chaque année et on révolutionne le droit bancaire. Du coup plus d’abus bancaire. Nous sommes loin d’atteindre le million mais merci à tous ceux qui ont compris. En cliquant ICI, rejoignez les donateurs.

Créer une force qui dépasse les clivages politiques est aujourd’hui plus que nécessaire au vue des temps difficiles qui s’approchent: augmentation de la fiscalité sous toutes ses formes, inflation qui va durer plus que le disent nos éminences, faillites d’entreprises en augmentation rapide, augmentation des taux d’intérêts qui réduira le recours au crédit et augmentera considérablement les agios de découvert. Tout cela va provoquer une accumulations de frais bancaires et d’agios qui vont aggraver les déficit des ménages.

Nous vous mettons des vidéos des spécialistes de l’économie s’il vous en faut plus pour vous convaincre que les cochons de payants que nous sommes doivent s’organiser pour se défendre.

La disparition du logo CB sur certaines cartes bancaires peut avoir des conséquences financières pour le consommateur ? Une nouvelle menace de hausse des prix est dans l’air ! En effet, selon nos confrères des Échos, plusieurs grandes enseignes s’inquiètent quant à une augmentation de leurs frais des commissions liées aux paiements par carte bancaire. L’utilisation de plus en plus importante des cartes Visa ou MasterCard serait en cause.

Ainsi, la disparition progressive du logo CB sur les cartes françaises est une bien mauvaise nouvelle pour le pouvoir d’achat des consommateurs. Plus la commission est importante… Plus les commerçants ont tendance à répercuter leurs frais sur les prix des produits et services qu’ils proposent !

La disparition progressive du logo CB a des répercussions importantes sur le pouvoir d’achat des Français

Le 21 juin, Dominique Schelcher, président de Système U, a lancé une alerte sur Twitter.

En effet, si le logo CB apparait encore sur l’immense majorité des cartes bancaires que les banques françaises délivrent, il ne figure plus sur certaines d’entre elles.

C’est le cas, notamment, de cartes que la banque en ligne Boursorama délivre, filiale 100 % numérique de la Société générale. Pour Dominique Schelcher, ce changement qui semble être passé inaperçu, « tombe mal en période d’inflation ».

La disparition du logo CB sur les cartes bancaires est donc passée sous silence. Notamment avec l’arrivée des banques en ligne qui proposent des cartes sans le gogo CB.

Des conséquences significatives pour les commerçants

Cette disparition a alors des conséquences significatives pour les commerçants. Ces derniers doivent, en effet, payer une commission plus importante aux banques émettrices des cartes sans logo CB.

Parmi elles, une commission d’interchange, que la réglementation européenne plafonne. Sans compter les frais de réseau. « Quand le terminal de paiement électronique affiche ‘paiement accepté’, les différents réseaux de cartes ont vérifié la solvabilité du client », peut-on lire sur le site Legalstart, spécialiste de services juridiques.

Après la bonne prise en compte de la transaction, des frais s’appliquent alors. Ils « sont à l’appréciation des réseaux de cartes », qui « fixent librement leurs montants », explique Legalstart.

Ainsi, ces commissions sont souvent deux à trois fois supérieures à celle que les transactions réalisées avec des cartes affichant le logo CB, prélèvent.

Pourquoi ces commissions ?

Les cartes sans logo CB sont généralement liées à des réseaux internationaux tels que Visa ou Mastercard. Et leurs conditions d’utilisation sont moins avantageuses pour les commerçants français que celles du réseau national Carte Bleue.

Or, selon les grandes enseignes, de plus en plus de Français possèdent une carte bancaire qui ne contient pas le logo « CB ».

« Il y a trois ans, 97% des transactions passaient par le réseau CB. Et seulement 3% par les réseaux Visa et Mastercard », détaille Émilie Tison, directrice des services financiers de Système U, dans les colonnes des Échos. « Aujourd’hui, ce n’est plus que 85% à 88%. ».

Afin d’éviter de pénaliser les consommateurs, certains commerçants sont en quête des solutions.

Par exemple, ils pourraient négocier de meilleures conditions avec leur banque. Ou encore privilégier les paiements en espèces au lieu de la carte bancaire.

Vous l’aurez compris… La disparition du logo CB sur les cartes bancaires représente un véritable problème pour les années à venir !

Article de, mercredi 28 juin 2023 à 18h00, Véra Abitbol

Article paru le dimanche 18 juin 2023 à 12h28 par Jonathan Suniga dans reportages photos

Maintenant que la transaction financière numérique s’est répandue, sécuriser sa carte bancaire (CB) est primordial. Le premier rempart, c’est le code PIN. Alors, oui, avec 4 chiffres, il existe 10 000 combinaisons possibles pour percer le mystère de votre CB. Sachez cependant que certains codes sont plus fréquents que d’autres. Dans cet article, on vous liste 10 exemples à éviter.

Quels sont les codes les plus fréquents ?

D’après Nordpass, 123456 est le mot de passe sur Internet le plus utilisé en France en 2020. Comme les internautes, les détenteurs de CB ne font pas preuve de plus de créativité pour leur code PIN. En effet, 1234 domine le classement des codes secrets les plus employés pour les cartes de crédit.

Le problème avec ces codes secrets trop banals, c’est qu’ils sont vulnérables au piratage. En général, une CB se verrouille au bout de 3 essais infructueux. Ainsi, les fraudeurs en profitent et testent en premier les codes PIN le plus fréquent. Qui plus est, les plus fréquents sont souvent les plus simples.

Pour vous en rendre compte, on vous dévoile le top 10 des codes secrets de CB qu’on rencontre le plus souvent. Ils sont donc les principales cibles des pirates. Les voici : 1234, 1111, 0000, 1212, 7777, 1004, 2000, 4444, 2222, 6969. Si votre code PIN appartient à cette liste, il est alors urgent de le changer.

CB : comment choisir un code secret solide ?

Pour commencer, il faut savoir comment changer le code secret de votre CB. C’est devenu plus simple grâce à Internet. En effet, plus besoin de se rendre à son agence pour modifier votre code secret. Cela se fait directement sur le site web de votre banque ou sur une application.

Maintenant, pour avoir un code secret sûr et robuste, voici ce qu’il faut faire. D’abord, évitez les codes PIN de ce top 10. Puis, n’utilisez pas des chiffres liés à des dates importantes pour vous : date de naissance, date de mariage ou fiançailles, etc. Ces chiffres, les hackers peuvent les trouver en volant votre information personnelle.

Enfin, ce qu’il faut faire, c’est de choisir quatre chiffres, totalement aléatoires. C’est-à-dire des chiffres qui n’ont aucun sens logique pour vous. Une fois tout cela fait, il ne vous reste plus qu’à empêcher que quelqu’un découvre le code de votre CB.

Des astuces pour protéger sa CB des hackers

Un code secret solide ne garantit pas à lui seul de se prémunir des possibles escroqueries à la CB. Si votre mot de passe est robuste, il faut absolument éviter que quelqu’un le connaisse. Pour cela, il faut toujours être vigilant.

Par exemple, quand vous retirez de l’argent sur un guichet automatique, assurez-vous que personne ne remarque votre code secret. Pour éviter d’exposer à chaque fois votre CB, sachez qu’il est possible de la stocker dans votre smartphone.

De plus, sur mobile, vous pouvez utiliser une reconnaissance faciale ou une empreinte digitale à la place du code. C’est plus pratique pour les achats en ligne. Pour terminer, il est essentiel de ne jamais divulguer votre code secret à qui que ce soit. Cela vaut même pour votre banquier.

Paru le mercredi 9 août 2023 à 16h31 par Ysamelis Bolivar paru dans ·

Cette arnaque à la CB fait de plus en plus de dégâts dans les restaurants. Voici ce qu’il faut faire pour éviter de tomber dans le piège.

Des criminels opérant dans le sud de la France effectuent des substitutions de terminaux de paiement dans des établissements de restauration. Les fraudeurs les remplacent par des modèles connectés à des CB à l’étranger. Et ce type d’escroquerie continue de faire des victimes cet été. On vous explique tout dans les lignes qui vont suivre !

Arnaque à la CB : Quel est son mode opératoire ?

Une nouvelle forme d’arnaque à la CB se propage rapidement dans le sud de la France. Et cette situation ne manque pas de causer des problèmes croissants. Apparemment, des escrocs ont développé une méthode astucieuse pour détourner les fonds des restaurants.

Les fraudeurs parviennent à substituer discrètement le terminal de paiement d’un établissement avec un modèle identique. Cependant, il faut savoir que ce dernier serait en réalité lié à un compte à l’étranger. Ignorants de cette manipulation, les restaurateurs subissent d’importantes pertes financières sans le savoir. Cette escroquerie à la CB cible principalement les restaurants et les bars situés le long de la côte méditerranéenne. Le schéma d’opération est d’ailleurs relativement simple. En effet, les malfaiteurs profitent d’un moment d’inattention de la part des professionnels.

Ensuite, ils échangent le terminal de paiement par CB de l’établissement avec un template en tout point similaire. Cette escroquerie a déjà touché deux restaurateurs des Pyrénées-Orientales. Cela a ainsi incité les autorités locales et l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie à lancer un appel à la vigilance.

« C’est hyper élaboré »

Les gendarmes ont adressé une mise en garde essentielle aux acteurs de l’industrie de l’hôtellerie-restauration dans le sud de la France. Par le biais de leur page Facebook, ils conseillent aux restaurateurs, victimes d’arnaque à la CB ou non, de personnaliser leurs terminaux de paiement.

Et cela, en apposant des autocollants ou toute autre marque distinctive. L’objectif serait de permettre aux serveurs de vérifier leur intégrité et sécurité. Cependant, il se trouve qu’appréhender les criminels en flagrant délit s’avère être une tâche ardue.

Ce processus peut s’étendre jusqu’à 10 jours. D’autant plus que certains professionnels n’examinent leurs registres de caisse qu’une fois par semaine. Les escrocs, quant à eux, s’abstiennent de récupérer les terminaux échangés et ne restituent pas ceux qu’ils ont substitués.

Dès lors que le restaurateur envisage de porter plainte, le compte vers lequel l’argent a été détourné est déjà clos. En effet, les malfaiteurs ont déjà pris la fuite et ont tout vidé. L’ensemble de cette manœuvre complexe rappelle l’ingéniosité du célèbre Arsène Lupin !

CB : Les moyens de prévention !

Pour éviter de tomber dans cette escroquerie à la CB, Brice Sannac exhorte les restaurateurs à examiner régulièrement leurs relevés de télécollectes. Il s’assure ainsi que la banque, le nom de leur établissement et son numéro SIRET sont clairement indiqués. En parallèle, il rappelle aux professionnels du secteur d’apporter une personnalisation distinctive à leurs terminaux de paiement. Et cela, pour faciliter leur reconnaissance et renforcer les mesures de sécurité. Il est donc primordial de toujours se mettre sur ses gardes pour ne pas se faire avoir par cette arnaque à la CB.